Les classes de lecture à vue s’articulent autour de trois apprentissages : d’une part, la lecture à vue en tant que telle, déchiffrages seul ou en groupe, d’autre part, un travail des traits d’orchestre pour les instruments concernés, et enfin, l’étude de textes de styles différents, dont l’écriture contemporaine pour le clavecin.

En parcourant un répertoire peu familier des étudiants et étudiantes, cet enseignement crée les conditions d’une interprétation immédiate et sans travail préalable, afin de réfléchir collectivement aux difficultés identifiées. Au-delà du plaisir de découvrir de la musique en la jouant en ensemble, il s’agit d’explorer les imaginaires sonores transmis par les partitions et documents conservés. À la faveur de ce cours, les compétences en lecture sont développées, qu’il en aille des manuscrits, fac-similés de différentes techniques de gravures, ou des spécificités des solfèges anciens. La lecture est abordée dans toutes les clés, partitions instrumentales et vocales, partitions en éditions modernes, basse continue, notations en tablature et alfabeto pour luth et guitare baroque. Chaque étudiant, suivant son instrument, met en pratique les savoirs spécifiques que peuvent être la métrique, le tempo, le chiffrages et les spécificités des styles.

Comment les couples apprennent-ils à s’accorder ? Récital, mélodie et lied demandent aux binômes chanteur.euse - pianiste de travailler sur un pied d’égalité, dans des conditions d’écoute véritable. À partir de personnalités et de parcours différents, il s’agit de savoir prendre des décisions à deux en harmonie, et de comprendre les besoins de l’autre, et les enjeux de sa partie. À ce travail premier, suit une rencontre avec le répertoire, tant dans la dimension musicale que poétique. Si les lieder de Schubert et les mélodies françaises constituent les fondamentaux du cours, étudiants et étudiantes émettent leurs propres choix musicaux, en fonction de leurs affinités. Chaque année, un récital est organisé afin d’entendre le fruit du travail des interprètes, donnant lieu, quand cela est possible, à une initiation à l’élaboration de programmes, selon des principes dramaturgiques autant qu’artistiques.

Les projets artistiques représentent les productions visant à une mise en situation professionnelle que traversent les étudiant.es à l’intérieur de l’Ensemble chorégraphique. À l’instar d’une compagnie professionnelle, constituée d’étudiant.es issu.es de premiers cycles d’enseignement supérieur nationaux et internationaux, l’ensemble chorégraphique crée les conditions d’une mise en situation professionnelle : exploration des répertoires, découverte du processus de création auprès de chorégraphes de renom, pratique de la scène et expérience de la vie en tournée avec toutes les compétences d’adaptabilité requises… Autant d’opportunités de se nourrir d’une pluralité d’esthétiques, tout en cultivant leur singularité.

Dans le cadre de ces projets artistiques, chaque année, l’ensemble chorégraphique interprète un large éventail de pièces du répertoire néoclassique et contemporain. Des créations sont également commandées à quelques un.es des chorégraphes les plus actuel.les et exigeant.es, données chaque année au Conservatoire de Paris, puis en tournée en France et à l’étranger.

Quelques exemples de chorégraphes du répertoire de l’Ensemble Chorégraphique : Dominique Bagouet, Cécilia Bengolea, Trisha Brown, François Chaignaud, Boris Charmatz, Merce Cunningham, Marco da Silva Ferreira, Andy Degroat, William Forsythe, Emanuel Gat, Pierre Godard, Jiri Kylian, Maud Le Pladec, Wayne Mc Greggor, Benjamin Millepied, Julian Nicosia, Liz Santoro, Jacopo Godani, Mathilde Monnier…

Les projets artistiques représentent les productions visant à une mise en situation professionnelle que traversent les étudiant.es à l’intérieur de l’Ensemble chorégraphique. À l’instar d’une compagnie professionnelle, constituée d’étudiant.es issu.es de premiers cycles d’enseignement supérieur nationaux et internationaux, l’ensemble chorégraphique crée les conditions d’une mise en situation professionnelle : exploration des répertoires, découverte du processus de création auprès de chorégraphes de renom, pratique de la scène et expérience de la vie en tournée avec toutes les compétences d’adaptabilité requises… Autant d’opportunités de se nourrir d’une pluralité d’esthétiques, tout en cultivant leur singularité.

Dans le cadre de ces projets artistiques, chaque année, l’ensemble chorégraphique interprète un large éventail de pièces du répertoire néoclassique et contemporain. Des créations sont également commandées à quelques un.es des chorégraphes les plus actuel.les et exigeant.es, données chaque année au Conservatoire de Paris, puis en tournée en France et à l’étranger.

Quelques exemples de chorégraphes du répertoire de l’Ensemble Chorégraphique : Dominique Bagouet, Cécilia Bengolea, Trisha Brown, François Chaignaud, Boris Charmatz, Merce Cunningham, Marco da Silva Ferreira, Andy Degroat, William Forsythe, Emanuel Gat, Pierre Godard, Jiri Kylian, Maud Le Pladec, Wayne Mc Greggor, Benjamin Millepied, Julian Nicosia, Liz Santoro, Jacopo Godani, Mathilde Monnier…

Les hautbois en usage au XVIIIe sont au nombre de quatre : hautbois baroque, hautbois d’amour, hautbois de chasse et hautbois classique. À la faveur de ce cursus, les instrumentistes acquièrent la maîtrise technique de ces instruments (ornementation, improvisation, etc.), de sorte à être en mesure de passer de l’un à l’autre sans difficulté, parfois au sein d’une même œuvre, selon l’usage de l’époque. Au delà de l’apprentissage instrumental, les hautboïstes s’inscrivent dans un collectif auquel la formation s’attache à donner forme. Une pluralité d’instrumentistes ou de chanteurs gravite autour des étudiants, et constitue un paysage propice à la pratique de musique de chambre ou en ensemble. Pour préparer les musiciens à l’insertion professionnelle, curiosité et sens de l’initiative sont encouragés, tant pour initier des travaux collectifs que pour pour explorer l’histoire des instruments et le contexte de la création des œuvres.