Giove in Argo

Sous la direction de Leonardo García Alarcón Pour célébrer l’exposition « Éblouissante Venise » au Grand Palais, le Conservatoire de Paris a laissé carte blanche à Leonardo García Alarcón, grand spécialiste du Seicento italien, qui a choisi d’exhumer Giove in Argo d’Antonio Lotti. C’est en 1717 qu’Antonio Lotti, compositeur vénitien donne son Giove in Argo à Dresde. L’œuvre ne sera plus jamais jouée, seul le livret de Lucchini sera repris par Haendel en 1739. Pour cette recréation, un travail important sur les partitions a été réalisé en partant du manuscrit original grâce au soutien du Festival Baroque de Pontoise. La musique de théâtre de ce compositeur bien connu pour son Crucifixus à 8 voix méritait bien ces efforts.