Récital et soutenance de thèse de Cécile Kubik
Mis à jour le 25 septembre 2019 – Archives
Issue du doctorat d'interprète de la musique Recherche et pratique, Cécile Kubik est la première interprète-chercheuse à assurer une charge de cours au département de musicologie de l'université Paris-Sorbonne. Elle enseigne aux étudiants l'Histoire de la musique du XIXe siècle, en articulation avec les cours magistraux des professeurs.
Sous la direction du Professeur Jean-Pierre Bartoli et aux côtés du violoncelliste et gambiste Christophe Coin, Cécile Kubik travaille à une thèse dans le cadre de son doctorat, intitulée Penser l’interprétation des sonates françaises pour piano et violon au XIXe siècle, centrée sur la période 1800-1870. Elle considère la double inconnue d’un répertoire et d’un jeu violonistique encore inexplorés. La recherche dévoile les sonates de cette période, mais questionne aussi leur interprétation. Une étude historique est menée sur le jeu des violonistes français : base de données, inventaires inédits, analyse de sources et témoignages, notamment un vaste corpus de traités de violon et les partitions annotées du fonds Baillot de la BnF, éclairent leur pratique à la lumière de multiples paradigmes. L’ambition est de construire aujourd’hui, violon en main, une interprétation de ces sonates méconnues et, avec la création d’outils destinés aux interprètes et aux scientifiques, d’œuvrer à leur diffusion.
Son travail sera présenté lors :
Le jury sera composé de personnalités universitaires autant que musicales :
Sous la direction du Professeur Jean-Pierre Bartoli et aux côtés du violoncelliste et gambiste Christophe Coin, Cécile Kubik travaille à une thèse dans le cadre de son doctorat, intitulée Penser l’interprétation des sonates françaises pour piano et violon au XIXe siècle, centrée sur la période 1800-1870. Elle considère la double inconnue d’un répertoire et d’un jeu violonistique encore inexplorés. La recherche dévoile les sonates de cette période, mais questionne aussi leur interprétation. Une étude historique est menée sur le jeu des violonistes français : base de données, inventaires inédits, analyse de sources et témoignages, notamment un vaste corpus de traités de violon et les partitions annotées du fonds Baillot de la BnF, éclairent leur pratique à la lumière de multiples paradigmes. L’ambition est de construire aujourd’hui, violon en main, une interprétation de ces sonates méconnues et, avec la création d’outils destinés aux interprètes et aux scientifiques, d’œuvrer à leur diffusion.
Son travail sera présenté lors :
- D’un récital associé à la soutenance, le lundi 14 novembre 2016 à 19h, Cité de la Musique, Amphithéâtre. Programme
- D’une soutenance de thèse publique, le mardi 15 novembre 2016 à 14h, Conservatoire de Paris, Salon Vinteuil. En savoir plus
Le jury sera composé de personnalités universitaires autant que musicales :
- M. Bruno Mantovani, compositeur, chef d’orchestre, directeur du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris
- M. Jean-Pierre Bartoli, Professeur à l’université Paris-Sorbonne
- M. Christophe Coin, violoncelliste, gambiste, professeur au CNSMDP
- Mme Cécile Reynaud, conservateur en chef au département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France, directeur d’études en musicologie à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (section Sciences historiques et philologiques)
- M. Jean-Jacques Kantorow, violoniste, chef d’orchestre
- M. Guy Gosselin, Professeur à l’université François-Rabelais de Tours, Président de la Société française de musicologie