Découvrez la saison danse du Conservatoire
Mis à jour le 25 septembre 2019 – Archives
L’art de la danse est celui de l’équilibre. Mais n’oublions pas son corolaire : l’instabilité, qui lui donne sens et mouvement. Si l’institution joue la stabilité des appuis fondamentaux, elle n’en invente pas moins ses évolutions, ses déplacements. Par esprit d’ouverture et d’aventures à partager, car l’art et les artiste n’aiment pas l’isolement. Il en est ainsi de nos programmes qui reflètent, nous l’espérons, notre ouverture aux collaborations.
Dès octobre : avec la soirée « (ex) S.T.A.T.I.K », rencontre en des lieux pas très raisonnables entre messieurs Satie, Boivin et Tati, où les habituelles relations entre orchestre et danseurs sont rompues.
En novembre, grâce au partenariat avec le CND de Pantin, si naturel, amical et stimulant. Avec eux, nous sommes projetés dans la rencontre avec l’immense chorégraphe américaine Lucinda Childs.
Fin novembre, avec Entrée en Matières, c’est le principe de l’ « event » : assemblage unique d’éclat d’œuvres – merci aux notateurs - organisé par le hasard, qui ouvre à une lecture purement énergétique de la danse.
Décembre est le temps du premier Opus du parcours Etudianse. Avec celui de mai, ils sont le résultat de notre dynamique de rencontre artistique. Réunissant sur les deux programmes pas moins de 8 chorégraphes d’aujourd’hui - Jean Guizerix, Yong Geol Kim, Lucinda Childs, Rachid Ouramdane, Edouardo Torroja, Christiana Morganti, Douglas Becker, Jirí Kylián, cette année, les artistes nous entraînent vers l’abstraction comme processus d’éloignement d’une réalité à réinventer ou encore l’espace dont Paul Valery nous dit que le danseur en a l’obligation.
En janvier, « Ce qui est à l’œuvre » est l’occasion de goûter en direct à la belle aventure des déplacements dans les styles. Essentielle mise en sens du travail de l’interprète, à la rencontre des œuvres. C’est aussi le premier volet de présentation publique des travaux de composition des élèves.
En avril, lors des « Journées de la danse », le quotidien de la formation et notre dynamique pédagogique singulière s’expose sous toutes ses dimensions. Avec cette année, sa toute première retransmission en direct sur le site du Conservatoire ! Quant à l’aboutissement de la formation, sa mise en représentation scénique, épreuve ultime avant de pousser la porte de la professionnalisation, elle a lieu en toute fin du mois de juin avec le Certificat de danse.
Nous avons aussi le « Off ». Programme riche de projets et de découvertes au fil de l’année. Ainsi, nous renouvellerons l’expérience d’un laboratoire de création en partenariat avec la Fondation Royaumont, nous nous laisserons comme toujours tenter par les projets musique/danse, fruits des désirs partagés entre départements : du côté du Jazz, de l’improvisation etc. Les élèves ne manqueront pas d’être productifs lors des trois sessions d’ateliers chorégraphiques en décembre, janvier et avril. Nous répondrons au mieux aux nombreuses demandes de collaboration extérieures. En somme, nous poursuivrons dans l’esprit d’ouverture. Consulter l'agenda
Dès octobre : avec la soirée « (ex) S.T.A.T.I.K », rencontre en des lieux pas très raisonnables entre messieurs Satie, Boivin et Tati, où les habituelles relations entre orchestre et danseurs sont rompues.
En novembre, grâce au partenariat avec le CND de Pantin, si naturel, amical et stimulant. Avec eux, nous sommes projetés dans la rencontre avec l’immense chorégraphe américaine Lucinda Childs.
Fin novembre, avec Entrée en Matières, c’est le principe de l’ « event » : assemblage unique d’éclat d’œuvres – merci aux notateurs - organisé par le hasard, qui ouvre à une lecture purement énergétique de la danse.
Décembre est le temps du premier Opus du parcours Etudianse. Avec celui de mai, ils sont le résultat de notre dynamique de rencontre artistique. Réunissant sur les deux programmes pas moins de 8 chorégraphes d’aujourd’hui - Jean Guizerix, Yong Geol Kim, Lucinda Childs, Rachid Ouramdane, Edouardo Torroja, Christiana Morganti, Douglas Becker, Jirí Kylián, cette année, les artistes nous entraînent vers l’abstraction comme processus d’éloignement d’une réalité à réinventer ou encore l’espace dont Paul Valery nous dit que le danseur en a l’obligation.
En janvier, « Ce qui est à l’œuvre » est l’occasion de goûter en direct à la belle aventure des déplacements dans les styles. Essentielle mise en sens du travail de l’interprète, à la rencontre des œuvres. C’est aussi le premier volet de présentation publique des travaux de composition des élèves.
En avril, lors des « Journées de la danse », le quotidien de la formation et notre dynamique pédagogique singulière s’expose sous toutes ses dimensions. Avec cette année, sa toute première retransmission en direct sur le site du Conservatoire ! Quant à l’aboutissement de la formation, sa mise en représentation scénique, épreuve ultime avant de pousser la porte de la professionnalisation, elle a lieu en toute fin du mois de juin avec le Certificat de danse.
Nous avons aussi le « Off ». Programme riche de projets et de découvertes au fil de l’année. Ainsi, nous renouvellerons l’expérience d’un laboratoire de création en partenariat avec la Fondation Royaumont, nous nous laisserons comme toujours tenter par les projets musique/danse, fruits des désirs partagés entre départements : du côté du Jazz, de l’improvisation etc. Les élèves ne manqueront pas d’être productifs lors des trois sessions d’ateliers chorégraphiques en décembre, janvier et avril. Nous répondrons au mieux aux nombreuses demandes de collaboration extérieures. En somme, nous poursuivrons dans l’esprit d’ouverture. Consulter l'agenda